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Par claude michèle le 20 Mars 2013 à 17:06
Le jasmin appuyé à la fenêtre ouverte
Regarde vers la mer penché sur les embruns
Et te rêve venant dansant sur le chemin
Apparition qui dure mirage du désert qui tremble comme je tremble
Air brûlant dans l'air frais
Pourquoi quand tu es là il n'est plus de chemin
En toi je m'agenouille et ne sais plus marcher
Ne reste qu'une écorce au-delà de raison
Me vois-tu ?
Je ne sais quelles sont les apparences
L'insensé se voit-il au détour du chemin quand la raison n'existe ?
Je suis double peut-être et plus dans Sa main
Et l'autre qui déborde n'a pas de lèvres au coeur
C'est vrai je te traverse
Mais dedans est si chaud si vibrant si vivant
Célébration de fête .......
...................
L ' E S P A C E R E S P L E N D I T
N u l n ' e s t s é p a r é
Tu honores les fleurs
Tu honores les fleurs
D a n s t o u t e s l e s f l e u r s d u m o n d e
De palais en palais
d e p a l a i s e n p a l a i s
D E P A L A I S E N P A L A I S
( livret 1 : page 42...., page 43 ....-fragments )
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